Version poche : 12€ – Participation de 3€ aux frais de port
L’Encre du Vice
Roman distingué en décembre 2016 par le Prix spécial du Jury du Prix Littéraire Fondcombe.
La croix n’est pas le signe d’une appartenance religieuse, mais bien celui d’un pouvoir occulte. L’encre du vice incruste ses pigments sur le bras des cibles, victimes d’enlèvements mystérieux. Où passent les jeunes gens évoluant dans une vie normale avant que le mauvais sort ne s’acharne sur eux ? Soline, insouciante lycéenne Marseillaise, disparaît à son tour et fait les frais des travers d’un couple machiavélique. Son amie Julie se questionne sur sa disparition. Sa beauté n’aurait-elle pas stimulé des comportements blâmables ? Par quel hasard Clara fera-t-elle la connaissance d’Ève de Montolieu ? Femme énigmatique qui éveille les craintes de la jeune notaire. Tous les curseurs de son cerveau sont en alerte… L’ombre cynique de Pierre Jodac se profilerait-elle à nouveau après huit années d’absence ?
Un thriller intense, troublant et captivant, alliant passé et présent. L’intrigue se décline dans un univers romanesque insolite. Le lecteur plonge dans les desseins machiavéliques d’un couple évoluant dans une folle entreprise.
Ève de Montolieu (38 ans), riche héritière, dit travailler dans l’administration fiscale. Tromperait-elle le groupe féminin qu’elle fréquente ?
Gillo di Marzi (53 ans) travaille dans la finance. Fréquente la Haute Société monégasque. Il est l’amant d’Ève.
Dans ce thriller (suite du roman le passé compliqué), les personnages sont extrêmement bien campés, charismatiques et énigmatiques. Il plonge le lecteur dans les desseins machiavéliques de ce couple évoluant dans une folle entreprise. Au fil de l’histoire, les enjeux émotionnels sont élevés, avec des tensions et des conflits dramatiques maîtrisés par une écriture travaillée, ciselée.
Le lecteur se laisse entraîner dans l’univers glauque de l’argent facile, de la drogue, des réseaux du grand banditisme où tout est permis. Des disparitions suspectes, inquiétantes, tiennent le lecteur en haleine sur 400 pages.
Marie Kocajda-Tanguy sait nous rendre attachants (ou pas) ses personnages aux profils complexes. Dans cet univers romanesque insolite, j’ai vécu auprès des protagonistes, vibré à leurs contacts, encourageant l’un, l’aimant, décourageant l’autre, le détestant.
Sans nul doute, cette histoire rime à quelque chose… parce qu’elle m’a effrayée, énervée, émue, bousculée… Lecture passionnante et captivante, vivement recommandée, à découvrir absolument !